The Stanley Parable : le joueur contre le narrateur

L’expérience interactive du jeu vidéo permet à tout joueur de concourir la narration sa partie. D’un l’autre, le dispositif lui laisse une certaine latitude dans mise en scène des événements et leur déroulement. En tant que « co-créateur son expérience ludique », entre The Stanley Parable (Galactic Cafe, 2013) conflit ouvert avec un personnage singulier : narrateur. Figure allégorique s’il est, ce narrateur – simple voix hors champ dictant cours l’action est symbole d’une contrainte structurelle qui s’exerce habituellement manière impersonnelle. Alors plupart jeux ont tendance faire passer fil d’un scénario pré-écrit pour suite décisions appartenant au seul, contradiction ici tendue l’extrême personnalisée l’on peut désobéir. Lorsque Stanley, avatar joueur, arrive devant deux portes, intime prendre celle gauche. Libre droite. Une lutte s’instaure alors contrôle l’histoire. Cette avatar, cœur mécanique Parable, nous semble questionner place vidéo. À l’instar films Nouvelle Vague, Galactic Cafe parodie les codes canons l’industrie va jusqu’à déconstruire proposer singulière jeu. narrateur, explicitée par scène, n’est-elle pas l’image l’ambivalence poïèse esthèse structure toute vidéoludique ? N’est-elle l’expression imagée intérieure connaît